Nathalie Palladitcheff est une femme qui vous dit :“Je ne vois pas de contradiction entre le grand capital et les soucis du monde. Je pense qu’il y a un chemin qui est en cours. Plus on sera dans une construction économique et sociale durable, et en accord avec les besoins du monde, plus la rentabilité long terme sera assurée. Quand on est riche et bien portant, si on ne fait pas quelque chose pour le reste du monde, qui va le faire ? ”. Gentle reminder. Continue reading
Emmanuelle Quilès est une femme qui vous dit sans détours : « petite, je n’aimais pas que les autres femmes soient silencieuses, je ne veux pas être une femme qui se tait ». Ça ne pourrait pas mieux commencer. Continue reading
Yseulys Costes is a leader who says to you, eyes in eyes, “obviously I’m a feminist. In Europe, it is in our interest to be feminist. It’s not a moral problem, it’s an efficiency problem, diversity brings efficiency. ” Continue reading
Karima Silvent est une femme qui insiste : « je sais d’expérience que certaines quiet voices ne s’expriment pas en réunion si on ne les sollicite pas et pourtant, ce sont celles qui font parfois basculer le cours d’une conversation et d’une histoire ». Quelle délicatesse. Continue reading
Namita Shah est une femme qui ne tourne pas autour du pot : « si l’image que je renvoie n’est pas l’image que l’on souhaite pour une femme à mon niveau, c’est qu’il faut changer de femme ! ». Message de service.
Sophie Grégoire est une femme qui vous dit « être une bonne dirigeante ? Pour moi, c’est assez simple, c’est payer ses collaborateurs et ses fournisseurs. Les payer en temps et en heure » et elle ajoute « trouver un bon fournisseur, ce n’est jamais une question d’argent, c’est une question de confiance ». Vous vouliez du bullshit de leadership ? Reprenez plutôt votre Harvard Business Review.
Anne Lauvergeon est une icône qui vous assure : « pour chaque promotion que j’ai connue, j’ai passé 6 à 9 mois très difficiles. On dit que les femmes ont toujours le syndrome de l’imposteur, moi je suis un cas à encadrer ».
Anne-Charlotte Fredenucci est une dirigeante qui vous dit : « ce que je regrette c’est de ne pas avoir réussi à démontrer plus tôt à mon père que j’avais les capacités pour prendre la relève. Parce qu’on aurait pu éviter les licenciements ». Vous l’aimez intense et sans faux-semblant ? Vous allez être servi.e !
Yseulys Costes est une dirigeante qui vous répond les yeux dans les yeux : « évidemment je suis féministe. En Europe, on a intérêt à l’être. Ce n’est pas un problème moral, c’est un problème d’efficacité, la diversité apporte de l’efficacité ».